Vous réfléchissez à changer de syndic lors de votre prochaine Assemblée Générale ?
Si tel est le cas le processus est extrêmement simple et ne vous demandera que très peu de temps (environ 3 heures – plus si vous consultez plusieurs syndics évidemment), à condition d’être précisément accompagné afin de bien respecter tous les préalables pour un changement serein.
En effet, il y a des délais à bien respecter et un certain nombre de règles organisationnelles et juridiques à appliquer pour mener votre projet à bien.
Nous serons heureux de vous expliquer comment procéder tout d’abord, d’étudier sur pièces votre copropriété ensuite, en amont de notre rencontre sur votre bâtiment. Finalement nous vous enverrons une proposition de contrat de syndic le soir même de notre rencontre sur votre copropriété.
Vous serez rappelés dans les 24h, nous nous y engageons.
Un véritable travail d’équipe entre le Syndic et le CS : le CS est à la fois le partenaire et le contrôleur du syndic, une relation de confiance et transparente est le facteur clé de succès d’une collaboration réussie.
De la réactivité : C’est un trinôme qui travaillera au service de votre copropriété : Gestionnaire, Assistant(e), Comptable. Il vous connait et connait votre immeuble, qu’il gère avec votre collaboration. Vous pouvez rentrer en contact direct avec chacun des membres de votre équipe de gestion afin de voir vos problématiques traitées avec réactivité.
De la proximité : nous souhaitons être physiquement proche de nos copropriétés, notre agence gère des copropriétés uniquement à Lyon et son agglomération.
Une comptabilité rigoureuse et une trésorerie saine : c’est la clé d’une gestion saine de la copropriété. Nous sommes particulièrement rigoureux sur ce point, grâce à notre équipe comptable expérimentée et stable épaulée de notre service relance ; ils en sont les garants.
Des travaux réfléchis, concertés, suivis : il sera important de suivre les travaux que vous aurez le moment venu et surtout de bien les préparer en amont : de l’analyse du besoin, à la définition du « cahier des charges », en passant par la sollicitation des devis, le vote en AG, jusqu’au suivi des travaux et leur réception, les travaux doivent suivre ces étapes de façon rigoureuse pour être correctement menés.
Une maitrise des charges : Nous analyserons ensemble, en collaboration avec le Conseil Syndical, si nous sommes élus, dès la reprise de la gestion de votre immeuble, l’intégralité des contrats que nous auditerons pour : les confirmer, les résilier ou les mettre en concurrence ; et ce afin de faire baisser vos charges et/ou augmenter la qualité de prestation, si possible. Il est parti intégrante de notre mission de travailler activement à la maitrise de vos couts et la qualité de vos prestataires.
Chez Régie gindre c’est simple : pas d’engagement, pas de fausses promesses, pas de dérives tarifaires :
Le Syndic de copropriétés est le mandataire du Syndicat des copropriétaires, il a la responsabilité de la gestion des parties communes.
En collaboration avec les représentants élus de la copropriété (le Conseil Syndical), le Syndic administre la copropriété sur des aspects aussi diversifiés que :
Techniques : entretien courant, urgences, planification d’un plan de travaux, négociations avec les entreprises, c’est tous les aspects techniques qui touchent le bâtiment qui sont pilotés par votre syndic et les entreprises qui auront été choisies par l’AG ou le Conseil Syndical le cas échéant.
Relationnels : Parce que vivre en copropriété c’est vivre ensemble, votre syndic a également ce rôle de facilitateur d’usage du lieu de vie et des règles de la copropriété, dans la limite de notre mission évidemment.
Comptables : établissement des budgets prévisionnels, appels de fonds, recouvrement des éventuels impayés, contrôle des factures, saisies des factures, paiements des fournisseurs, contrôle des comptes, clôture et approbation des comptes, les taches ne manquent pas, notre super équipe comptable œuvre à plein pour tenir la cadence !
Administratifs : certains sujets sont inhérents aux lois et à la bonne tenue de votre copropriété, comme assurer votre immeuble, faire respecter le règlement de copropriété, gérer le personnel de la copropriété, réaliser les convocations d’AG, tenir l’Assemblée Générale, réaliser et diffuser le procès-verbal. Cependant la lourdeur administrative s’invite bien au-delà : tenue et mise à jour du carnet d’entretien, de la fiche synthétique, enregistrement de votre copropriété et sa mise à jour annuelle sur le site de l’ANAH, réalisation d’audit obligatoire (ascenseurs, électrique, amiante, énergétique, technique pour le plan pluriannuel de travaux), tenue d’un registre des PV et des mandats, diffusion des consommations individualisées, tenue et mise à jour du site extranet, affichage dans les parties communes
Juridiques : la Loi du 10 juillet 1965 et votre Règlement de copropriétés seront les 2 piliers de ce qui peut (et ne peut pas) être fait sur votre copropriété et comment cela doit être fait. Derrière ces 2 piliers ce sont en réalités des milliers de cas de figures qui doivent être gérés par votre syndic dans l’administration de vos parties communes.
Elle peut choisir la forme coopérative : le syndic ne sera pas élu par l’assemblée générale mais par les membres du conseil syndical. Le syndic sera dans ce cas le président du conseil syndical avec toutes les responsabilités attachées à la fonction de syndic.
Il est possible également, dans les petites copropriétés en forme coopérative, de désigner directement à la majorité de l’article 25 un syndic parmi les membres du syndicat (cadre dérogatoire à la gestion coopérative classique organisé à l’article 17-1-1 de la loi de 1965).
Le syndic peut être un copropriétaire bénévole. Il sera ainsi élu en assemblée générale dans les mêmes conditions qu’un professionnel.
Le syndic non professionnel doit être un copropriétaire.
Il y a beaucoup de similitudes entre un syndic bénévole et un syndic professionnel : il a les mêmes obligations et la même responsabilité civile et pénale : le syndic bénévole est responsable de la gestion de la copropriété envers les copropriétaires, le syndicat des copropriétaires et les tiers intervenants pour la copropriété.
Il peut également voir sa responsabilité pénale engagée en cas de détournement de fonds ou d’abus de confiance. Il lui est conseillé de souscrire à une assurance en responsabilité afin de couvrir les éventuelles fautes, erreurs ou négligences.
Le syndic professionnel
Il sera élu en assemblée générale à la majorité absolue des copropriétaires, il doit être titulaire d’une carte professionnelle spécifique aux syndics de copropriété auprès de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI).
Afin de pouvoir bénéficier de cette carte il devra justifier d’une garantie financière auprès d’un organisme agréé et se soumettre régulièrement à des contrôles tant de cette caisse, que des commissaires aux comptes de son organisme comptable que de la DCCRF.
Son rôle est défini par l’article 18 de la Loi du 10 juillet 1965.
Lors de sa création cet article comportait 3 alinéas et se référait à une gestion en bon père de famille. Aujourd’hui il comporte 8 paragraphes et 19 alinéas. Les obligations du syndic ont donc plus que quintuplé et sa responsabilité s’en est vue considérablement accrue.
Quel que soit le type de syndic choisi, la durée du mandat est fixée aux termes du contrat et ne doit pas dépasser trois ans, mais est cependant renouvelable.